La rivière, le soleil aidant, a les couleurs de l’été. Je suis heureux de la retrouver. Je la pêcherai toutefois plus tard. Les poissons ne sont pas encore en bordure.
Petite pose dans la neige. Cette solitude est un moment privilègié de la pêche. J’aime cette intimité. La journée est devant moi… ainsi que cette nouvelle saison. C’est le moment de faire des voeux.
La barrière semble aussi infranchissable pour moi que pour les poissons…. L’année dernière, il y avait plus de neige, j’y suis pourtant bien arrivé.
Au dessus de l’obstacle:
Les efforts sont récompensés… Le fond de la rivière est propre et meuble. La nymphe à vue est pratiquée idéalement. Je m’imprègne.
Je m’imprègne et baigne dans l’ambiance de ces retrouvailles. Rien n’existe plus que l’instant présent, l’eau, la vallée, les truites et… ma soif.
Plan sur le tapis de larves à fourreau. Quand j’ai vu la photographie, je me suis posé des questions sur le wading…
Quelques photographies trop révélatrices du mélange génétique des truites de cette rivière. Quel dommage!
Cette truite n’est pas bien grosse mais c’est la première de la saison que j’aurai leurré en sèche. Je l’ai parfaitement aperçu monter.
Voila, c’était une belle journée. Le rendez vous a été décallé d’une semaine mais il a été intense.
Hum, c’est vrais qu’on ne peut pas tout montrer, ni partager… Comme j’en ai d’autres comme ça, je sens que je vais m’arrêtter là. C’est dommage, mais tu as raison Nicolas!
Peut être dans un autre monde…
Tes photos sont très belles Pierrick mais le coin que tu montre est un petit trésor connu de peu de monde ,tu devrai être plus discret à mon avis
Et ce sont des dégats irréversibles!
Belle journée Pierrick. Il fau tavori du courage pour pêcher dans ces conditions.
Passion quand tu nous tiens.
Dire que les poissons de pisciculture ne se reproduisent pas est une grossière erreur. On mesure ici l’étendue des dégats de déversments donnés pour innofensifs.